La feu des prénoms
À clermont ferrand, dans une existence conforme saturé de réseaux incorporels et de précisions ambiantes, une feu étrange s’était mise à bien tomber tout nuit. Elle n’avait ni émotion, ni odeur, ni chaleur. Pourtant, elle laissait sur les surfaces vitrées des milliers de prénoms, dessinés par condensation numérique, comme une encre